date de naissance & âge: 30 mai 2000 (19 ans) lieu de naissance: Cheyenne (Wyoming) statut civil: Petit cœur brisé à rafistoler métier: Lycéen occupation: Petite main au service de maintenance lieu de résidence: Quartier Nord, il partage une maison avec sa grand-mèreparticularités: I can't breathe ! Orla est asthmatique. Le stress et les efforts physiques peuvent déclencher des crises plus ou moins violentes. Il ne quitte jamais sa ventoline dont il fait des stocks dès qu'il le peut. Cependant, la diminution progressive de la pollution omniprésente des villes tend à espacer ces moments pendant lesquels il est extrêmement vulnérable. Run Boy Run... Orla sait que ses atouts physiques sont aussi maigres que ses mollets de poulet. Conscient de ce désavantage et sachant qu'une crise d'asthme peut toujours survenir, il s'applique à courir le plus vite possible le plus loin possible d'une quelconque menace. Son esprit d'analyse lui a également vite fait comprendre qu'il ne faisait pas le poids face à une horde ni face à des survivants belliqueux; sa technique est donc l'esquive! Sprint, escalade, cache-cache, tout est bon pour mettre le plus de distance possible entre le danger et lui. Born to be a nerd... Intello de service, Orla a toujours été le premier de la classe. Destiné à de brillantes études supérieures, l'apocalypse zombie a malheureusement mis fin à ses rêves universitaires. Il n'en demeure pas moins un garçon brillant doté de grandes capacités d'analyse et de déduction qu'il sait être sa meilleure arme. Passionné par les sciences, l'informatique et la technologie en général, il n'est pas rare de le voir récupérer des matériaux à droite à gauche pour bricoler des outils qui rivalisent d'ingéniosité. Il déplore toutefois la disparition d'internet, des jeux-vidéos et du reste de ce qui était autrefois si important dans sa vie d'adolescent. Shalom La famille d'Orla vient d'Europe et plus particulièrement d'Allemagne que ses arrières grand-parents ont du quitter juste avant que n'éclate la seconde guerre mondiale. Comme beaucoup d'autres, ils atteignent les États-Unis pour s'y établir. Immigré de la quatrième génération , il grandit avec une ambivalence entre les cultures américaines et juives. Ses parents, pourtant non pratiquants, tiennent à transmettre à leurs enfants un peu de leur héritage. Please love me... Trop intello, trop nerd, trop weird, trop gay, Orla passe les dernières années du lycée à se faire harceler ce qui le pousse à se refermer sur lui-même et développe chez lui des troubles alimentaires. Il a peu d'amis, mais s'attache pourtant très vite à quiconque lui témoigne de la bienveillance. Le maître du donjon Gros fan de jeux, de pop culture et surtout de jeux de rôle, il était devenu maître de jeu pour une petite table qu’il avait monté avec ses amis en Californie. La petite bande de geeks passait aussi beaucoup de temps devant les films et séries de SF ou de Fantasy, suivait toutes les conventions et les concours de cosplay. Tell me more, tell me more Il a appris à jouer de la guitare pour refaire des musiques de film et de jeux ; On le surnommait le « phasme » à cause de sa silhouette allongée ; Il adorait construire des legos ; Il portait des lunettes lorsqu’il passait trop de temps sur les écrans ; Son bien le plus précieux est un sweat de son ancien lycée, trop grand pour lui, désormais troué et rafistolé. caractère: Clever boy Orla est intelligent oui, mais il est aussi rusé et ingénieux. Il analyse vite et bien, calculant à toute vitesse les probabilités pour mieux survivre. S’il est malin, il n’en est pourtant pas sournois ou mesquin. Le bon dieu sans confession Connaissant ses points forts mais surtout ses faiblesses, il sait user de sa petite bouille de chaton abandonné pour attirer la pitié des autres et se mettre à l'abri. Ainsi, on s'attachera vite à lui, autant que lui à vous, car c'est avant tout un gamin perdu qui cherche désespérément à être aimé et réconforté. Show me your scars Les déménagements successifs, le harcèlement et l'isolement, cette classe qu'on lui fait sauter, l'apocalypse et la mort omniprésente, autant de choses qui l'ont poussé à grandir trop vite, à devenir craintif et méfiant. C'est pourtant un cœur bon, capable du meilleur pour qui veut bien lui tendre la main. Il a besoin des autres pour survivre, mais surtout pour vivre car la solitude est autant son refuge que son purgatoire. Good luck Orla est chanceux. Depuis le début de la fin, il aurait déjà pu mourir des centaines de fois, mais par le hasard, l'aide des autres ou l'intervention de celui qu'il appelle son ange gardien et qui veille sur lui, il s'en est toujours tiré. Cela repose aussi sur le fait que s'il peut se montrer courageux, il n'est pas téméraire. Il sait quand il faut se battre, mais plus encore quand il faut fuir et se cacher. La isla de la muerte… ça veut dire la mort en espagnol Achever des morts le dégoûte profondément. Malgré l’errance qu’il vit pendant des mois, il répugne toujours à devoir tuer une nouvelle fois ces âmes errantes. Il s’y résigne pourtant. Il faut bien survivre non ? Tuer les vivants, c’est autre chose. S’il évite le plus possible ce genre d’extrémités, les deux ans d’apocalypse ont eu tôt fait de mettre à mal ses convictions. Des scènes qui le hantent encore et pour longtemps. I will never give up Beaucoup sont ceux qu'il a laissé derrière, le plus souvent contre sa volonté. S'il en éprouve toujours une grande peine, il ne cesse pourtant jamais de se battre pour sa vie, il a promis de tenir. Il leur doit ça. Au moins ça.
autres points importants: Here we go !-
Ses parents sont écrivains. Son père est auteur de polars et sa mère écrit pour le cinéma.@ Alors qu'elle est enceinte, sa mère est persuadée d'attendre une fille et elle choisit pour son enfant le prénom "Orla", d'ordinaire donné à des filles. @ La famille Richter voyage beaucoup et déménage souvent, la plupart du temps pour suivre les envies du père qui aime s'immerger dans un environnement pour le décrire dans ses livres. Si ça permet à Orla de voir du pays, c'est difficile pour lui de se faire des amis à long terme et de s'intégrer dans les différentes écoles où il ne fait que passer. @ Il a une petite sœur, Jessica, de qui il est proche malgré leur différence d'âge de 6 ans. @ Les parents Richter pousse leur fils aîné (peut être un peu trop) pour qu'il excelle à l'école, ce à quoi il s'applique consciencieusement, faute de se faire des amis. On lui fera même sauter une classe. @ Petit génie, il gagne souvent le concours annuel de science et de connaissances. Bien que les sciences et la technologie soient ses sujets de prédilection, il ne repousse aucune connaissance et est curieux de tout, du moment qu'on le laisse tranquille derrière son ordinateur. @ Il se montre brillant dans la majorité des matières, sauf en sport, cours pour lequel il se fait souvent dispenser à cause de son asthme. C'est pourtant un bon sprinter. @ La petite famille passe la plupart de ses vacances chez la grand-mère d'Orla qui est partie s'installer à Kelowna après son divorce. Le jeune garçon adore ces vacances autant qu'il adore sa grand-mère qui, bien qu'ayant un sacré caractère, le couve d'amour. @ Orla a su très tôt qu'il préférait les garçons. Il a eu la chance d'être totalement accepté et soutenu par ses deux parents.
-Fatality-
Alors que sa famille vit depuis plusieurs mois dans le Colorado, sa mère se voit proposer un gros contrat en Californie. Les Richter déménagent à nouveau et Orla en veut à sa mère pour cet énième changement mais pas longtemps car pour la première fois il sympathise avec des gens de son école qui comme lui sont fans de culture geek, de jeux-vidéos, et surtout de jeux de rôle !!!! Très vite, toute la petite bande est inséparable. @ Malheureusement, à cause des réseaux sociaux, des élèves du lycée découvre l'homosexualité du jeune homme en faisant le lien avec ses abonnements instagram. Orla n'a pas la possibilité de faire lui-même son coming out et doit subir un harcèlement moral et physique de la part des élèves homophobes de l'établissement. C'est une période difficile pendant laquelle il développe un fort manque de confiance en lui ainsi que des troubles alimentaires. Il tient pourtant le coup grâce à l'aide de ses amis et au soutien de sa famille toujours très soudée.@ Un jour, on le bouscule dans les couloirs et toutes ses affaires s'étalent par terre. C'est un élève d'une autre classe, la star de l'équipe de foot du bahut, qui l'aide à tout ramasser. Orla aura un crush immédiat sur lui. @ Quelques semaines après, un virus commence à se rependre depuis l'Europe. Plus les jours passent et moins les élèves sont nombreux en cours. @ Il est l'un des seuls à sortir vivant du lycée le jour où les morts l'envahissent. Voir Darren -le garçon qu'il aime en secret depuis des semaines- se faire dévorer sous ses yeux lui laissera un traumatisme indélébile. C'est toutefois grâce à ce dernier qu'il est toujours en vie, et en sa mémoire, il fait tout pour tenir bon.
-This is an open world-
Il mettra plusieurs jours à regagner son quartier pour trouver sa maison vide. En rechargeant son téléphone il découvre de nombreux messages de ses parents "On vient te chercher mon chéri, après, on ira chez Grand-mère le temps que ça se calme...". Il n'aura plus jamais de leurs nouvelles. @ Le quartier dans lequel il vit est contrôlé et protégé par des militaires qui viennent parfois prendre des gens pour les envoyer dieu sait où. Un jour, c'est le tour d'Orla. Il se retrouve alors dans une sorte de communauté dirigée par l'armée qui est en train de se monter. Après de nombreux tests, et aux vues de ses capacités, on l'assigne à l'assistance d'un groupe de scientifiques qui fait des recherches sur le virus. La vie dans ce groupe est dure et de plus en plus spartiate, mais elle lui permet d'apprendre à mieux connaître cette nouvelle menace. On lui enseigne aussi à se servir d'une arme, même s'il est encore difficile pour lui d’imaginer la tourner vers un vivant. Un vieux soldat se prend d'affection pour lui et lui apprend également à conduire et à réparer toutes sortes de moteurs qui passent dans le hangar de la communauté avec laquelle il vivra presque un an. @ Un jour après une attaque éclair, ils sont annexés par un nouveau groupe armé. La vie difficile devient impossible sous le joug de ces tyrans du nouveau monde. Il assiste à des scènes d'une cruauté terrible qui le marquent à vif. Avec quelques anciens, il décide de s'échapper. Une fois encore, il sera le seul à se sortir de cette entreprise. @ Vivre sans aide dans ce monde en ruines est presque mission impossible pour le jeune homme. Heureusement, sa chance est toujours avec lui. Il rencontre un petit groupe d'ados qui survit tant bien que mal en vagabondant sans jamais se poser. Cette expérience nomade est une épreuve du feu, mais là encore, il se surprend à trouver la force de tenir et d'avancer. Au bout de plusieurs mois, il se souvient du dernier message de ses parents et de leur projet d’aller se réfugier au Canada. Il propose donc aux autres de se diriger vers le nord pour rejoindre Kelowna où vivait sa Grand-mère. La vie est peut être plus simple là bas ? C'est en tout cas ce qu'il espère. Les autres acceptent de le suivre. @ La route est longue et difficile, et le petit groupe perd parfois un membre ce qui les laisse de plus en plus démunis. Toujours guidé par la chance, ou peut être par un ange gardien qui veille sur lui, Orla s'obstine jusqu'à ce qu'un jour, ils croisent la route d'un camping-car qui vadrouille : C’est une petite équipe en expédition. Prenant ces gamins perdus en pitié, ils acceptent de les emmener le plus près possible de leur destination tout en les prévenant : comme toutes les grandes agglomérations, Kelowna est tombée depuis longtemps. Orla refuse d'abandonner l'espoir auquel il s'accroche depuis si longtemps mais pas ses camarades qui décident de rester avec les gens du camping-car qui les invitent à trouver refuge dans leur communauté. C'est une nouvelle séparation déchirante : ça fait des mois qu'ils survivent ensemble. @ Les derniers miles se font à bord de voitures trouvées ou à pied dans le froid et la faim. L'hiver est là, de plus en plus mordant et féroce. Épuisé, souffrant de malnutrition et de déshydratation, il va pourtant jusqu'au bout de ses dernières forces et arrive enfin à Kelowna. Mais comme il s’y attendait, rien ne l’attend dans cette ville en ruine. Seul, à deux doigts de l’inanition, il sent que la fin arrive pour lui. @ Des gens de Highgate, alors en expédition, le trouveront dans un état critique. Ils le ramèneront et le soigneront. Il vivra un temps avec eux puis participera à l'exode qui le mènera à la Colonie où il retrouvera sa Grand-mère Judith | |
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